Ne vous y méprenez pas ! Malgré son statut de coach, Pierre Croci ne pourra pas vous aider à améliorer vos performances sportives ou perdre quelques kilos. Par contre, nul doute qu’un chef d’entreprise ou de service y trouvera un appui de talent. Devenu coach en milieu professionnel, Pierre Croci a choisi d’aborder sa mission avec une ligne claire : « Écouter avec attention et sans intention. Un coach n’est ni un psy ni un expert. Mon rôle est d’être une opportunité pour les autres, que ce soit pour un accompagnement individuel ou collectif, de servir de point d’appui pour aller plus vite et ouvrir le champ des possibles » précise-t-il.
Il faut dire que l’homme en a vu un rayon en matière de management et d’organisations. Ancien chef d'entreprise, directeur du Réseau Entreprendre Adour pendant 10 ans, Pierre CROCI dispose d'une très solide expérience qu'il a souvent mise à disposition au sein des organisations patronales. Il conserve d’ailleurs quelques activités connexes comme l’animation d’un club de l’association pour le progrès du management ou encore du club Plato où il dispense des formations pour le compte d’Ideso. « La notion d’accompagnement m’a toujours porté. J’ai bénéficié d’un coaching du temps où je participais au CJD. J’y avais gagné en assurance. C’est pour cela que j’ai choisi de m’engager à mon tour dans le coaching, après avoir suivi une formation dispensée par Vincent Lenhardt, l’une des pointures françaises du sujet ». Un métier où la prospection commerciale n’existe pas, une profession où l’on s’appuie sur son réseau et où il vaut mieux « être recommandable et recommandé ».
« Je suis très confiant en l’avenir. Ce métier existe depuis 30 ans, les écoles se structurent depuis une décennie en France et le coaching arrive en province. Cette démarche va prendre de l’ampleur » annonce Pierre Croci qui identifie le coach comme « un référent de qualité». « Attention, le coach n’est pas un gourou, il doit permettre aux choses de se réaliser, aider à trouver des solutions et être capable de se retirer au bout de sa mission ». C’est d’ailleurs l’un des paradoxes de ce métier. « Le coaché doit acquérir de l'autonomie et savoir se passer de son coach à l'issue de la petite dizaine de séances étalées pendant 6 à 8 mois ».
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Rédaction : Agence Valeurs du Sud