En parallèle à la recherche, ce béarnais cap e tot, passionné de rugby mouille aussi le maillot pour commercialiser ces nouveaux outils de gestion de cabinets médicaux, auprès d’une profession où tout le monde se connaît et où la concurrence s’exerce. Très vite l’équipe Orthalis se donne comme objectif de prendre de l’avance et d’anticiper les besoins des professionnels. Aux outils de gestion de l’agenda, de la comptabilité, des courriers, des statistiques, les ingénieurs vont adjoindre un volet imagerie offrant des services inégalés à ce jour. Les orthodontistes sont parmi les professions médicales les plus en demande d’outils technologiques de pointe. « Un exemple. Aujourd’hui un praticien prend beaucoup de photos de son patient afin de suivre avec lui et sa famille les progrès dus à l’appareillage.
Nous avons développé Kitview qui offre une imagerie professionnelle, une organisation sur mesure, un gain de temps et une totale confidentialité » La preuve par l’exemple est bluffante : prenons l’acquisition d’images par Wifi. Le praticien prend en photo la bouche du patient et en quelques secondes la photo apparaît sur l’écran sans la moindre opération de transfert filaire. Si l’image ne convient pas il peut la refaire à loisir, le résultat sur l’écran de l’ordinateur est immédiat. La palette des outils mis au point par Orthalis comprend aussi l’aide au diagnostic. Dans ce cas par exemple la simple possibilité de superposer tracés, radios et photos est un gain de temps fabuleux.
Aujourd’hui Orthalis est dotée d’une très sérieuse réputation bâtie sur des propositions technologiques des plus pertinentes. Après avoir équipé plus de 650 cabinets dans la France entière, elle étend son expertise à d’autres professions médicales telles que les dentistes, parodontistes, les implantologues, les ORL, les dermatologues et les chirurgiens plastiques.
Ce savoir-faire dans l’imagerie pousse l’entreprise à rechercher des ouvertures à l’international, notamment en Russie. « Nos outils sont universels » souligne Stéphane Fourcade aujourd’hui en charge de la direction technique sud. En marge de ce développement applicatif, l’ingénieur travaille sur de la recherche dans le but de trouver des solutions pour la reconnaissance de points sur des radios. Enraciné en Béarn, le fort en maths et fou de rugby sillonne 70 000 km par an et l’aventure ne fait que commencer.
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Rédaction : Agence Valeurs du Sud